La kinésithérapie
La kinésithérapie est la prise en charge de référence pour soigner la tendinite de la cheville. Elle permet non seulement de soulager la douleur, mais aussi de corriger les causes sous-jacentes afin de prévenir toute récidive et retrouver une vie normale, en pratiquant les activités habituelles sans inconfort.
Aux centres KOSS & IK Paris, nos kinésithérapeutes spécialisés établissent un programme de rééducation adapté à chaque patient.
Nous disposons d’un ensemble de technique pour traiter et prévenir les tendinites, notamment :
- Des traitements de physiothérapie : ultrasons, électrothérapie, TECAR thérapie et ondes de choc, visant à stimuler la réparation du tendon et réduire l’inflammation.
- Des massages transverses profonds pour favoriser la circulation sanguine et soulager les tensions.
- Des mobilisations spécifiques pour restaurer la souplesse et l’amplitude articulaire.
- Des étirements passifs doux pour améliorer l’élasticité des tendons.
- Des exercices de renforcement musculaire progressifs afin de stabiliser l’articulation et éviter les déséquilibres.
En complément des séances en cabinet, les kinésithérapeutes des centres KOSS guident leurs patients sur les bonnes pratiques à adopter :
- Les postures à privilégier au travail et dans la vie quotidienne.
- L’importance de l’échauffement et des étirements avant toute activité physique.
- Le choix de chaussures adaptées pour limiter les contraintes sur la cheville.
- L’importance d’une hydratation et d’une alimentation adaptées pour maintenir une bonne santé musculaire et articulaire.
Traitement médical et chirurgical
Si la rééducation ne parvient pas à soulager les douleurs, un traitement médical peut être envisagé :
- La prise d’anti-inflammatoires ou d’antalgiques. Ils peuvent être pris sous forme de médicaments, ou de crème à appliquer localement.
- En cas de douleur persistante, des infiltrations de corticoïdes peuvent être proposées pour réduire l’inflammation.
La chirurgie est rarement indiquée pour une tendinite de la cheville. Elle n’est envisagée que lorsque la douleur devient chronique et que les traitements conventionnels ne suffisent plus à soulager le patient.